C’est comme une conférence millimétré aux intentions du cœur, une voie sans issue qui ouvre tous les possibles je me jette sur le silence comme un strapontin pour entendre grand spectacle de vie. Musicalité interne et écriture. Nous, ça serait une coupe où on poserait nos larmes et ensuite on se croiserait les silences je ne peux pas être triste avec toi, mais je peux voguer sur tes larmes pour que le sillon de nos bateaux tracent sur l‘eau une nouvelle écume. je vous lance la bouée, ...
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Affichage des articles du octobre, 2023
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Amplitude sauvage de chant magnétiques gorgés de ciel gueule béante ouverte de ceux qui penchés sur les cieux ouvrent le bal des indicibles pluie en moi souffle de vent en saccades j’éblouis la figure du ciel qui tend sa lame et ouvre en deux tous les paradis. Ca galope de vie, photo:Claire Hugonnet il scintille des cieux il se branchage a l’infini en écume folle dansent les remous il se vertige à l’horizontale sur l’architecture des flots il se verticalise le dernier soupir, je me pluie ...
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Je marche sous les bocages à pas de forêts tu entends les pétales tomber y a de l‘or sous les feuillages ça brindille ça futile, je me prends les pieds dans le concret du tapis… c‘est comme ça aussi la vie. Tu boucles d’or toutes les forêts de femmes les chemins s’ouvrent à reculons, regarde je te rejoins à l’envers nous dansons, nous pleurons, nous vivons.
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Tu entres dans les notes comme je rentre dans la salle de bain, merci de ces blancheurs qui dérivent à l’horizontale des mots, j ‘attendais ce moment avec l‘impatience des fleurs. Joue ne t‘inquiètes de moi c‘est moi qui viendrai vers toi, j‘apprends de près de loin, j‘apprends…. Parler de l‘esprit du piano c‘est ouvrir le fragile du bois et n‘en parler que de résine, ne pas se résigner à ne plus rien sentir attraper le flux qui perfore l‘espace et entendre la commissure de la vie sourire rentrer dans la brèche et s'engouffrer, s‘engouffrer photo: Claire Hugonnet je te parle de bois tu me réponds résine. L‘esprit qui dort sous l’eau, celui qui tremble au bord du vide, j‘osons mettre des mots là où tout danse. J‘ose l‘imperceptible, effleurer les notes de tes doigts de racine là ou tout monte ta pluie décèle l’indicible, l‘esprit du son déferle à vent tournant, il pleut de...
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J ‘aimerai dire la joie de ce qui me tapisse au fond des corridors, une effluve qui se lève et le corps de la vie se soulève.Tu réveilles l‘esprit du chant comme une vieille souche, le piano se remet debout il danse pas à pas, se mouche, crache un peu, et il se gondole de rire sous l’embrasure des sons, il y a là dessous un espace fendillé, je le vois, mais le son s’engouffre là comme un psaume d‘été qui viendrait après la pluie. Divaguons à l‘infini il n‘est jamais trop tard pour remonter le fil photo Claire Hugonnet de l'allégorie du temps qui remonte à l 'envers sur son fil Tiens! je l’ai déjà dit !!!