Amplitude sauvage de chant magnétiques
gorgés de ciel
gueule béante ouverte de ceux qui penchés sur les cieux
ouvrent le bal des indicibles
pluie en moi
souffle de vent en saccades
j’éblouis la figure du ciel qui tend sa lame et ouvre en deux tous les paradis.
Ca galope de vie,
photo:Claire Hugonnet
il scintille des cieux
il se branchage a l’infini
en écume folle dansent les remous
il se vertige à l’horizontale sur l’architecture des flots
il se verticalise le dernier soupir,
je me pluie
il se neige
nous pleurons
nous nous versons
il danse des astéroides et
je me dansons.
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