J ‘aimerai dire la joie de ce qui me tapisse au fond des corridors,
une effluve qui se lève et le corps de la vie se soulève.Tu réveilles l‘esprit du chant
comme une vieille souche,
le piano se remet debout
il danse pas à pas,
se mouche,
crache un peu, et il se gondole de rire sous l’embrasure des sons,
il y a là dessous un espace fendillé,
je le vois,
mais le son s’engouffre là comme un psaume d‘été qui viendrait après la pluie.
Divaguons à l‘infini il n‘est jamais trop tard pour remonter le fil
de l'allégorie du
temps qui remonte à l 'envers sur son fil
Tiens! je l’ai déjà dit !!!
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