Moi j’irradie une nouvelle lumière porteuse d’un tout autre message message de voix qui disent que rien ne peut se détacher de nous sans réparations inonder la terre de nouvelles qui accumulent et forgent la joie. Nouvelle joie en demeure à préserver comme eau de vie qui mature en silence. photo: Claire hugonnet Je me nuis à me contempler et je me jourre à essayer d’apprendre. Peut être gardons le focus sur l‘éternel ?
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Affichage des articles du septembre, 2023
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Comment ça vient l’idée d’un livre, d’un spectacle ? C’est quelque chose qui parle de l’intime, de ce que chacun se dit a l‘intérieur, et puis tout d’un coup quelqu’un arrive et vous dévoile une partie de nous sans nous connaître, ça c‘est incroyable J’adore ça ! Moi je me sens liseuse du monde, des gens et des animaux aussi, si lire c‘est permettre aux autres d’être eux même alors je veux devenir écriture. je lis les images dans vos têtes quand je ne comprends plus les mots. photo: Nathalie Destoc
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Ce qui est dur c’est lorsque les gens nous plaignent alors que nous vivons une vie au plus près de ce que nous sommes, peu de gens sont habilités à le faire. Je voudrai frotter mon nom au silence de Nuit, qu’on ai pas peur de dire que c‘est moi, pourquoi faut il garder une distance ? Je suis déjà la distance, Après je voudrai qu’on amène plus de questions, ouvrir encore plus large, donner du récit qui vibre. Aujourd’hui je termine un cycle de vie, je récite une boucle de ce qui a été, ma vie ne se condense pas seulement à des mots, je présume de longs apprentissages pour nous tous en ce moment, enduits intérieur.Pour faire ces aller retour entre dedans dehors et rester beau et vivant. Moi je regarde dedans à fleur des flammes, toi tu régules dehors, je suis vie intérieure à effleurer lentement le silence, je ne suis pas d’action de de faire, je suis à soulever l’instant pour voir ce qu’il y a en dessous parfois ce...
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photo: Claire Hugonnet Moi j‘ai l’habitude , des doutes et des hésitations en fait, tu sais je suis la reine du doute, je me demande chaque jour qui je suis, et pourquoi cette route ? Et chaque jour la réponse serait différente parce que chaque jour je suis une part infini de moi même, ça me fait penser à la pluie, il pleut, tu vois plein de gouttes c‘est la pluie mais chaque goutte a une histoire différente, elle ne tombe pas du même ciel, du même endroit et pourtant c’est la pluie. De nos diversités naissent les rêves, et aussi une forme de réalité dont nous avons tellement besoin.
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Les souvenirs me parlent comme des bulles gazeuse qui vacillent au bord de l’eau je me souviens des souvenirs à 4 pattes dans le sable ou je mâche le sable en plein vent. Je me souviens des toboggans, des remontées mécaniques perchées dans les neiges là haut je me souviens de ton rire sous les lampions quand le monde tourne je me souviens des intrépides qui me sautaient dessus a la récré dans la salle de béton Je me souviens des toboggans, des remontées mécaniques perchées dans les neiges là haut je me souviens des planches à l’océan, des vols de trottinette et des courses sur le sable a l’horizon. Je me souviens du noir des salles avant les spectacles et du silence clouté qui sur le attend dans l’ombre. Je me souviens de ta voix dans mon ventre qui trempe dans l’eau. Je me souviens de trois fois rien. photo: Denis Leblond
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Je sais naître en moi comme Zeus ne s’oserait. Dans la nasse éphémère de la vie Tout semble sans syllabes mais mes synapses volent au secours de mes os, je murmure derrière les murs a l’intérieur des mots. je me perds en conduite désossée, je me sais sans usure j’applaudis nos paradis de derrière le silence surgit la vie, photo:Nicolas Poirier surgit l’envie ...
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Je n‘occupe pas ma place, j’occupe le vide. Je détermine que rien n’est permanent et que nous sommes comme l‘oiseau sur une branche , comme le temps d’une vie. Aujourd’hui la vie est un miracle demain si on rejoue on se frotte aux encoignures. On se frotte à la dureté du monde et ce sont des vagues successives que je laisse glisser en moi pour que mes pas me suivent et non pas ma tête qui décide, je suis hors de la structure mentale, je me promène dans le labyrinthe de la vie parfois le miracle nous échappe. faisons en sorte que nous n‘ayons jamais rien à regretter. Parfois je dis ça mais je regrette, disons que je travaille à ne plus rien regretter... Oui, j ‘espère que vous cueillerez toute la joie qui nous occupe, toute la profondeur et la turbulence qui nous traverse. Parce que c‘est un processus d’unité entre nous et le monde il ne devrait pas y avoir de division, juste des étendus de possible pour remanie...
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Je me croûte sur le cuir de la vie il n’y a pas de perle au paradis juste une odeur tannée une douce carapace tiède qui s’ébroue sous la pluie qui se visse a moi comme un refuge Je me carcasse au soleil baignée par la lumière des idées je me tremble dans le froid ce n’est jamais assez quand il grelotte à pas sautés. Je compte les virages, les vitesses je prends le vent dans mes ramures pour faire comme chair avec l’anima. je me propulse a travers les myrtilles dans les ronces photo:Claire Hugonnet ...
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En balade, c‘est comme si nos grandes passions roulaient sous le chapiteau de la vie. On ne construis rien, on se pose et on écoute le mouvement à l‘intérieur de soi. C'est comme un magnifique entrelacs de cocon en mutation de papillons à venir. Je m'enrobe tu t'enrobes nous portons de belles robes, nous soufflons sur le temps sans jamais vouloir le parcourir, j‘aime ce temps qui glisse au long cours somptueux de rivière d‘eau. Parfois la joie nous accompli parfois nous accomplissons la joie. Cet enchevêtrement de couleurs qui constitue ma robe me donne envie de dessiner, de voir le blanc se remplir d’un autre monde, comme si tout tournait à l‘horizontale, sans début ni ...