Ce qui est dur c’est lorsque les gens nous plaignent alors que nous vivons une vie 

au plus près de ce que nous sommes,

 peu de gens sont habilités à le faire.


Je voudrai frotter mon nom au silence de Nuit,

qu’on ai pas peur de dire que c‘est moi,

pourquoi faut il garder une distance ?

Je suis déjà la distance,


Après je voudrai qu’on amène plus de questions,

ouvrir encore plus large,

donner du récit qui vibre.

 Aujourd’hui je termine un cycle de vie, je récite une boucle de ce qui a été,

ma vie ne se condense pas seulement à des mots,

je présume de longs apprentissages pour nous tous en ce moment,

 

enduits intérieur.Pour faire ces aller retour entre dedans dehors et rester beau et

vivant.

Moi je regarde dedans à fleur des flammes,

toi tu régules dehors,

je suis vie intérieure à effleurer lentement le silence,

 je ne suis pas d’action de de faire,

je suis à soulever l’instant pour voir ce qu’il y a en dessous

parfois ce sont des résidus somptueux balayés en un rien de geste

 je demeure immobile pour capter la lumière,

je demeure en carapace d’escargot pour que la vie s’entortille dans mes 

photo: Paquito Couet

                                                                            

 branches.

 

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