Je n‘occupe pas ma place,

 j’occupe le vide.

 Je détermine que rien n’est permanent et que nous sommes comme l‘oiseau sur 

une branche ,

 comme le temps d’une vie.

Aujourd’hui la vie est un miracle demain si on rejoue on se frotte aux 

encoignures.

 On se frotte à la dureté du monde et ce sont des vagues successives que je laisse

 glisser en moi pour que mes pas me suivent et non pas ma tête qui décide,

je suis hors de la structure mentale,

je me promène dans le labyrinthe de la vie

parfois le miracle nous échappe.

faisons en sorte que nous n‘ayons jamais rien à regretter.

Parfois je dis ça mais je regrette,

disons que je travaille à ne plus rien regretter...

 

Oui, j ‘espère que vous cueillerez toute la joie qui nous occupe, toute la 

profondeur et la turbulence qui nous traverse.

Parce que c‘est un processus d’unité entre nous et le monde il ne devrait pas y 

avoir de division,

juste des étendus de possible pour remanier la lumière de nos vies,

c‘est comme une ballade ensemble l’espace d'un instant et dans cet instant il y a

tout.

Je fais choix de me retirer parfois du monde pour pouvoir encore mieux percevoir 

le centre.

Non pas être au centre, mais être ensemble au centre,et ça c‘est une autre histoire

 qui viendra

probablement bientôt.

Il y a comme la possibilité de proposer humblement une transmission,

vous la prenez ou pas,

on peut en rire, en pleurer,                    

s'émouvoir ou n‘en rien dire

j ‘aime ce silence a la fin

il palpite dans nos veines. Il invite au hors champ.

 Je choisi le hors champ souvent pour marcher à rebrousse être.

C’est comme faire de mi-tour en soi.

Puisses nos vies s‘accommoder de tant de pensées car il y aurait en dessous de

 
 
 
cela enfin la grandiose
 


simplicité.



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