C‘est le grand bazar que devons nous faire en nous,
aller envers, ou contre ?
Merci a la saveur fruitée de ce notes en figues de ré
la sourdine derrière c’est la grand méandre de nos pensées
comment arrêter ce qui suis?
dis à Phillipe que je suis juste derrière lui
droit devant nous y allons avec le grand orchestre du lent carnaval dehors,
heureuse de vous y voir tous.
Comment être dans la célèstitude du moment ?
Nous y sommes pourtant,
ne rien attendre c’est être près de ce qui nous incombe.
Vaste pluie à déverser l’horizon dehors, dedans c’est le jour qui s’inverse
On se jourre en pleine nuiit
dans le brouhaha des pensées.
Se taire, ne rien laisser trainer, et tordre la grande muraille des idées,
elle est fabuleuse ta fugue.
Marche en strophe, abat les grandes catastrophes,
il se joue de belles trouées dans le vaste monde,
pages.
Je me perche dans les cimes des grandes tornades,
ou est le vent qui mugit ?
Il danse en moi,
il est là en trombe.
Remonter le long du silence pour capter le reste,
je me resplendit dans le simple,
marche encore et encore pour lancer la valse lente des tortues
aller et venir,
revenir et parler parler parler.
je dis me dore au plus simple pour écouter mon cœur chanter sans abri.
S’il pleut je me rouille,
s’il neige je me grisouille,
mais si tu chantes des notes je me constelle en mon fort intérieur.
Où est ce bon feu qui me grise ?
Sur la valse lente nous marchons pas a pas lentement
je te submerge et nous fuguons nos 14 ans.
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