Les notes arrivent comme des caresses,

des jours sans fin,

des illuminations tendres,

laissez moi pleurer,

ce sont peut être des larmes de beauté, 

au cas où... laisse moi les dire,

les palper, les jaillir, les jeter en vols hilares d’oiseaux vers le bleuté.

Je ne sais pas toujours ce que je pleure,

est ce aussi un mouvement de liberté,

est ce une accoutumance au bonheur?

 

 

                                          photo Nathalie Destoc

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