Sur ta main il se calque des notes au centuple,
si ma peau s’y colle, alors tout change.
Tu joues des colonnes vertébrales, des yeux grands ouverts, des respirations de
souffle à ventiler la vie.
Tu joues des arbres
et les oiseaux en dedans,
tu joues les deltaplanes dans lesquels je ne monterai jamais,
tu joues les notes de mon père qui marmonnent dans son cœur,
tu joues la mécanique des cantiques.
Tu joues la treille des roses qui poussent en moi sur ma métallurgie interne.
Tu joues la distance
et l’éloignement
tu joues ce qui n’est pas
et ne sera jamais.
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